22 décembre 2010

Programme de formation du CFCPH - 75013 - Paris - premier trimestre 2011

Programme de formation du CFCPH du premier trimestre 2011. Les inscriptions sont à faire au niveau de vos responsables de formations locaux.


Centre de formation continue du personnel hospitalier (CFCPH)

Pitié-Salpêtrière - Tél. : 01 42 16 06 51



PRATIQUE IDE MODULE 6 (Renforcer sa pratique clinique infirmière) : Module 6 : analyse des pratiques professionnelles infirmières)
20 janvier, 1er mars, 31 mars, 04 mai, 06 juin 2011

ENCADREMENT DES ETUDIANTS EN STAGE (Encadrement des étudiants en stage)
13 -14 janvier 2011

ADDICTION-MILIEU PROFESSIONNEL (Plan addiction : Addictions en milieu professionnel)
Lundi 31 janvier et mardi 1er février 2011 Jeudi 3 et vendredi 4 mars 2011

ACCOMPAGNEMENT FIN DE VIE (Accompagner les personnes en fin de vie)
31 janvier, 1er, 7, 8 et 11 février 2011

ANALYSE PRAT. MORTUAIRE (Analyse des pratiques professionnelles des agents exerçant en chambre mortuaire)
17 janvier, 3 mars, 10 mai, 6 octobre, 6 décembre 2011

CANCER CS IDE (Plan cancer : la consultation paramédicale d'annonce)
10 février et 03 mars 2011

ECOUTE RELATION D’AIDE (Communication, écoute, relation d'aide auprès des personnes soignées)
07, 08 février et 07 mars 2011

DIVERSITES INTERCULTURELLES (Mettre en œuvre une démarche interculturelle dans les soins
28 février, 1ermars et 21.22 mars 2011

FAE EN EEG
7, 8, 9, 10, 11 février 2011 - 14, 15, 16, 17, 18 mars 2011 - EVAL 5 mai 2011

ENCADREMENT DES ETUDIANTS EN STAGE (Encadrement des étudiants en stage)
3-4 FEVRIER 2011

FAE AS CHAMBRE MORTUAIRE (FAE aide-soignant en chambre mortuaire Module 1)
Stage théorique 1 jour : 3 février 2011 Stage pratique 2 jours : 7, 8 février 2011

GERONTOLOGIEM1/SPECIFICITES (Module 1 : Mieux connaître les spécificités du grand âge et les pathologies liées au vieillissement pour accompagner en équipe interdisciplinaire les personnes âgées)
7 -8-FEVRIER 2011

PRATIQUE IDE MODULE 1 (RENFORCER SA PRATIQUE CLINIQUE INFIRMIERE Module 1 : Evolution et perspectives de l'environnement professionnel infirmier)
14, 15, 16 mars 2011

RECHERCHE SI niveau 1 (Recherche en soins infirmiers
Niveau 1 : Introduction à la démarche de recherche en soins infirmiers - (Télécharger l'affiche)

Durée et Calendrier prévisionnel : 10 jours les 17, 18 mai 2011, 15, 16, 17 juin 2011, 18, 19 octobre 2011,
09, 10 novembre 2011, 08 décembre 2011

EPUISEMENT PROFESSIONNEL (Prévention des risques psychiques et de l'épuisement professionnel à l'hôpital)
28, 29, 30 mars 2011

PREVENIR LA CRISE SUICIDAIRE (Prévenir la crise suicidaire)
28 mars 2011

PRENDRE LA PAROLE (Valoriser sa communication orale : prendre la parole)
15, 16, 17 mars et 5, 6,7 avril 2011

GERONTOLOGIEM2/PREVENIR RISQUES (Module 2 : Pratiques de soins et prévention des risques liés à l'âge) 14- 15mars 2011

REFERENTS LITS SOINS PALLIATIFS (Formation des référents ''Lits identifiés de soins palliatifs'' AP-HP)
9, 10 mars 2011

SOIN AU PATIENT PSY (Accueillir et soigner le patient psychiatrique (sensibilisation)
14, 15 mars 2011

ENCADREMENT DES ETUDIANTS EN STAGE (Encadrement des étudiants en stage)
10 - 11 MARS 2011

FAE AS CHAMBRE MORTUAIRE M2 (FAE aide-soignant en chambre mortuaire Module 2)
Stage théorique : 23, 24 mars 2011

EDUCATION THERAPEUTIQUE (Développer ses compétences relationnelles et pédagogiques en éducation thérapeutique)
21,22, 23, 24 mars et 4, 5, 6, 7 avril 2011

CANCERS PROFESSIONNELS (Prévention des cancers professionnels en milieu hospitalier)
18 et 19 mars 2010

LE SOMMEIL ( SOMMEIL: ami ou ennemi )
2 mars 2011

PLAIES ET CICATRISATIONS (Plaies et cicatrisation)
24, 25 mars 2011



Bonnes formations 

Pascal RAUTUREAU
Association IDEES

26 novembre 2010

« Neuf cents accidents médicaux par jour dans les hôpitaux français »

Le Monde livre les conclusions de « la deuxième enquête nationale sur les événements indésirables graves liés aux soins (Eneis), publiée par le ministère du Travail et de la Santé », après une première étude réalisée en 2004.
Le journal retient que « 900 accidents médicaux, en moyenne, surviennent chaque jour dans les hôpitaux et cliniques français. […] Sur ce total, 400 seraient "évitables" estime le rapport ».
Le quotidien évoque un « résultat élevé proche de celui de 2004 », relevant que « chaque année, ce sont donc entre 275 000 et 395 000 "événements indésirables graves" (EIG) qui surviendraient dans les établissements hospitaliers ».
Philippe Michel, directeur du Comité de coordination de l'évaluation clinique et de la qualité en Aquitaine (CCECQA), coauteur de l'étude réalisée avec la Drees (évaluation et statistique), remarque que « globalement, ça n'est pas brillant. Mais cela ne doit pas masquer les progrès qui ont été faits, par exemple en anesthésie-réanimation ou contre les infections nosocomiales ».
Le responsable précise que « 20% des EIG évitables survenus à l'hôpital ou en clinique sont associés à des médicaments (...). Ils sont en cause dans quasiment la moitié des cas d'EIG ayant entraîné une hospitalisation ».
« Il évoque le problème des traitements anticoagulants, où l'on n'enregistre guère de progrès, avec des traitements compliqués qui peuvent être difficiles à gérer par des patients âgés », note Le Monde.
Philippe Michel aborde en outre « une augmentation des hospitalisations pour infection du site opératoire, qui peut être liée à l'identification au domicile d'une infection contractée dans un établissement de santé. Mais cela peut être aussi la conséquence d'une mauvaise prise en charge des plaies opératoires en ambulatoire ».
Le Monde remarque que « l'étude pointe des "défaillances humaines des professionnels", moins souvent en lien avec des défauts de connaissances qu'avec des conditions de travail dégradées, "une supervision insuffisante des collaborateurs" ou encore une "mauvaise organisation" ou un "déficit de communication entre professionnels" ».
Le quotidien ajoute que « le plus souvent, l'événement indésirable entraîne un prolongement d'hospitalisation, mais le pronostic vital ou une incapacité à la sortie de l'hôpital peuvent être en jeu, voire, plus rarement, la mort ».

Revue de presse Mediscoop du vendredi 26 novembre 2010

24 novembre 2010

« Santé : les inégalités sociales se creusent »

La Tribune aborde un « rapport confidentiel de l’Igas », selon lequel « globalement depuis 1968, la mortalité a diminué, mais certaines catégories en ont profité plus que d’autres ».
Le journal ajoute que le document « relève au passage que «les inégalités liées au niveau d’études ont augmenté depuis 1968». Conséquence : la différence d’espérance de vie entre un cadre supérieur et un ouvrier à l’âge de 35 ans atteint 7 ans, le premier ayant encore 46 années de vie devant lui, contre 39 pour le deuxième ».
La Tribune note qu’« au début des années 1980, cet écart d’espérance de vie était de 6 ans ».
Le quotidien poursuit, relevant que « chaque mois, les statistiques hexagonales égrènent des vérités souvent désagréables à entendre. Ainsi, la proportion d’obèses est deux fois plus fréquente chez les ouvriers que chez les cadres. Un fléau qui a toutes les chances de se reproduire à la génération suivante ».
Le journal remarque toutefois que « la lutte contre les inégalités de santé est désormais inscrite dans les objectifs des nouvelles agences régionales de santé : celles-ci seront évaluées notamment en fonction de l’indicateur de la réduction de la mortalité prématurée »

Revue de presse Mediscoop du mardi 23 novembre 2010

08 novembre 2010

Soins palliatifs : l’Inpes diffuse des documents d’information auprès des professionnels et du grand public

Dans le cadre d’une campagne de sensibilisation préconisée par le « Programme de

développement des soins palliatifs 2008-2012 », l’Inpes diffuse des documents

d’information auprès des professionnels et du grand public. Qu’est-ce que les soins

palliatifs ? À qui s’adressent-ils ? Où et par qui sont-ils pratiqués ? Quelles sont les aides

pour les proches ? figurent parmi les questions abordées. 


L’Institut a également cofinancé

le film Les yeux ouverts de Frédéric Chaudier. Réalisé à la maison médicale

Jeanne Garnier, il apporte un témoignage intense sur la fin de vie en donnant la parole

à ceux qui vont mourir, à leurs proches et aux soignants. Un regard sur l’humanité. Au

cinéma à partir du 3 novembre.

La brochure grand public Soins palliatifs et accompagnement

Le dépliant à destination des professionnels Soins palliatifs et accompagnement

Le film Les Yeux ouverts

26 octobre 2010

« Le «burn out» touche aussi les internes en médecine »

Le Figaro indique en effet que « près de la moitié des internes en cancérologie ont déjà des signes d’épuisement professionnel, selon une étude française présentée au congrès annuel de l’European Society for Medical Oncology, à Milan (Italie) ».
Le journal explique que « Pierre Blanchard (Institut Gustave-Roussy, Villejuif) et ses collègues ont envoyé un questionnaire aux 340 internes en cours de spécialisation dans les trois filières de la cancérologie (oncologie médicale, radiothérapie et hématologie) ».
« Sur les 206 qui ont participé de façon anonyme, 44% répondaient aux critères du «burn out», qui se définit par trois composantes : un épuisement émotionnel, une dépersonnalisation de la relation à l’autre et une sensation de faible accomplissement personnel », note Le Figaro.
Le quotidien ajoute que « l’enquête montre également que 20% de ces jeunes médecins prenaient régulièrement des anxiolytiques ou des somnifères. Une proportion non négligeable envisageait «souvent ou très souvent» d’abandonner la médecine (15%) ou de changer de spécialité (11%) ». 
Pierre Blanchard remarque que « ce score de 44% […] traduit une souffrance dont il est important de rechercher les causes ».
Le Figaro rappelle en outre que « dans d’autres études, le «burn out» a été corrélé à une augmentation du risque suicidaire et à une altération des relations avec les patients (moindre empathie, risque accru d’erreurs médicales) ».
Le journal relève que « chez ces jeunes cancérologues, 5 principaux facteurs de stress ont été recensés, à commencer par la «forte charge émotionnelle» d’un métier où l’on est souvent confronté à la mort. Il y a aussi la lourde charge de travail, les questionnements liés au statut d’interne ou plus existentiels, et enfin les demandes excessives de la part des patients ou de leur famille ».

« Les consultations via Internet bientôt autorisées »


Sandrine Cabut relève dans Le Figaro que « déjà développées dans des pays comme les Etats-Unis et la Suisse, les téléconsultations viennent d’être autorisées en France ».
« Le décret encadrant ces pratiques et les autres actes de télémédecine – telle la télésurveillance médicale – a été publié la semaine dernière », indique la journaliste.
Sandrine Cabut remarque que « ces dispositions vont modifier profondément les relations médecin-malade et l’exercice médical, en particulier dans les zones les moins denses en professionnels de santé ».
Le Dr Jacques Lucas, vice-président du Conseil de l’Ordre des médecins, déclare ainsi que « la télémédecine est une réponse aux problèmes démographiques, pour apporter l’expertise médicale là où elle n’est pas. […] Les téléconsultations vont devenir un acte médical à part entière, pris en charge par l’assurance-maladie ».
Sandrine Cabut retient ainsi qu’« il y aura possibilité de diagnostic et de prescription à distance, ce qui était jusqu’ici interdit en l’absence de contact physique », et rappelle que « tout un chacun peut déjà obtenir sur Internet des informations et des conseils médicaux personnalisés, délivrés par des praticiens ».
« Les dispositions du décret vont permettre d’aller bien plus loin », poursuit la journaliste, qui s’interroge toutefois : « Les principaux intéressés sont-ils prêts à passer le cap ? ».
Guy Vallancien, urologue qui « depuis 5 ans utilise un programme de suivi à distance de patients atteints d’un cancer de la prostate », déclare que « la télémédecine ne déshumanise pas la relation, bien au contraire. Avec les outils de la modernité, on peut faire beaucoup de choses sans voir les gens, quand on les connaît ».

Mediscoop le 25 octobre 2010

« Les infirmiers un peu moins mal répartis sur le territoire »

Le Figaro économie note que « les infirmiers libéraux sont sans doute la profession de santé la plus mal répartie. […] Leur densité, ramenée au nombre d’habitants, varie de 1 à 7 entre les départements les moins bien et les mieux lotis ».
« Conséquence : dans certains endroits ces infirmiers s’épuisent au travail, tandis que les patients ont du mal à les trouver. Ailleurs, confrontés à une forte concurrence, ils gagnent leur vie en multipliant les actes qui pourraient être effectués par les aides-soignantes », constate le quotidien.
Le journal relaie toutefois les « premiers effets d’un accord en vigueur depuis 2009 », signé par l’assurance-maladie et les syndicats.
Le Figaro économie rappelle que cet accord « prévoit une aide à l’installation en zone «très sous-dotée». […] A l’inverse, les installations sont interdites dans les zones «surdenses», sauf à remplacer un autre infirmier cessant son activité ».
Le quotidien parle de « résultats encourageants », indiquant que selon la Cnam, « alors que le nombre total d’infirmiers libéraux installés a progressé de 2,4% entre avril 2009 et janvier 2010, il a reculé de 3% dans les zones très denses. […] Les effectifs ont progressé de 10,6% en zone très sous-dotée ».
Le Figaro économie précise que « cette nette accélération ne représente cependant qu’une centaine d’installations nouvelles, pour 145 zones sous-dotées. C’est pourquoi l’assurance-maladie souhaite pérenniser et étendre cet accord, quand il expirera en avril prochain ».
« Et voudrait en négocier un avec les kinésithérapeutes, eux aussi très mal répartis », poursuit le journal.
La Croix relate pour sa part un sondage Ipsos, selon lequel « 60% des infirmiers [sont] «inquiets» pour l’avenir de leur profession ».
Le journal précise que « cette inquiétude est plus durement ressentie chez ceux qui travaillent à l’hôpital public (64%) et un peu moins pour ceux exerçant dans les cliniques (57%) ou en libéral (49%) ».
La Croix ajoute qu’« ils sont 81% à ne pas vouloir changer de métier ».

Mediscoop le 22 octobre 2010

13 octobre 2010

Sortie du Film - Les Yeux Ouverts - Le 3 Novembre 2010

Le 3 Novembre 2010

« Les Yeux Ouverts », c’est l’histoire d’un regard : celui d’un fils dont le père meurt en unité de soins palliatifs, à la Maison Médicale Jeanne Garnier à Paris. En évoquant son expérience unique, en rencontrant patients et professionnels, Frédéric Chaudier parle à chacun d’entre nous de la maladie,
de la peur, de la peine, de la perte et du goût de vivre.

La « transformation » personnelle que le cinéaste nous fait partager, illustre combien la médecine palliative et l’accompagnement sont une réponse humaine et efficace à la souffrance des malades et de leur famille.

La SFAP invite tous ses membres à aller voir ce film magnifique et inciter collègues et proches à en faire autant. L’émotion et la justesse du cinéma de Frédéric Chaudier renouvelle notre regard sur l’accompagnement et en actualise toute la pertinence. Dignité, pudeur et humanité sont au rendez-vous.
Pour nous, professionnels et bénévoles, à la veille de la journée mondiale des soins palliatifs, il est un encouragement à poursuivre avec détermination et compétence, le développement des soins palliatifs et
de l’accompagnement pour que chaque patient, chaque famille y ait enfin accès.

Dr Anne Richard
Présidente de la SFAP

Toutes les informations relatives à ce film sont disponibles sur le site de la SFAP :
- La bande annonce du Film
- Le dossier de presse du Film
- La brochure de 4 pages
Pour consulter la page dédiée, cliquez-ici.

Soyez nombreux à relayer cette information auprès de vos équipes, de vos proches ou de vos événements notamment à l'occasion de la Journée Mondiale des Soins Palliatifs.
Un grand merci à vous pour votre soutien pour la promotion auprès du plus grand nombre de ce film.


SOCIETE FRANCAISE D'ACCOMPAGNEMENT ET DE SOINS PALLIATIFS
Elise LEBLANC
Assistante Communication
Tél. : 01 45 75 32 33 - Portable : 06 43 65 63 22 - Fax : 01 45 78 90 20
Site Internet : www.sfap.org

24 septembre 2010

Mireille Faugère officiellement nommée à la tête de l'AP-HP

C'est officiel, Mireille Faugère remplace Benoît Leclercq à la direction générale de l'Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP). Sa nomination, sur proposition de la ministre de la Santé, a été annoncée en conseil des ministres ce mercredi 22 septembre.
Diplômée de l’École des hautes études commerciales (HEC) de Paris en 1978, Mireille Faugère intègre la SNCF en 1979 sur des postes opérationnels liés à l’exploitation ferroviaire. Elle gravit les échelons internes et participe au développement de la grande vitesse en prenant la tête de la branche Voyages en 2003, fonction qu'elle quitte en janvier dernier pour devenir conseillère du président de la SNCF Guillaume Pepy. Mireille Faugère est mariée et mère de deux enfants.
Benoît Leclercq, dont l'action à la direction générale de l'AP-HP a été immédiatement saluée dans un communiqué par la Fédération hospitalière de France (FHF), est quant à lui nommé conseiller maître en service extraordinaire à la Cour des comptes. Il quitte l'Assistance après quatre années de travail et de concertation, à l'issue desquelles un plan stratégique de réorganisation et de redressement des comptes de l'entité vient d'être adopté.
Le syndicat Sud santé de l'AP-HP indique dans un communiqué avoir pris acte de cette nomination et espère que "la nouvelle direction prendra la mesure du profond désarroi de l'ensemble de la communauté hospitalière sur l'évolution de [l']institution et son management maltraitant".


Hospimédia le 22/09/10

13 juillet 2010

Reprise des supervisions infirmières le jeudi 23 septembre 2010 à 18h

Cher(e) adhèrent(e), cher(e) collègue

Notre travail d’infirmier(e) nous amène à côtoyer au quotidien des situations complexes avec les patients ou leur famille, ou avec nos collègues. Depuis quelques années l’association IDEES organise des séances de supervisions et d’analyse de pratique qui tentent de vous proposer un autre regard pour en décrypter les mécanismes qui se jouent dans ses relations de tension, d’affectivité, mais aussi, parfois de souffrance.


Le jeudi 23 septembre 2010 de 18h à 20h, notre nouveau superviseur, Bruno Larrose, Psychologue clinicien, psychanalyste, nous fait l’honneur de débuter cette nouvelle année et nous vous espérons nombreux pour partager ces moments de parole libre en dehors de votre service.

Dans ce courrier, vous trouverez plusieurs informations pour commencer cette nouvelle année scolaire « IDEES…alement »:

Supervision
Adhésion
Journée thématique………..



Confraternellement

Plus d'infos : cliquez ici


Anne DIAKHATE
Présidente de l’association IDEES

12 juillet 2010

« Le plan de casse des hôpitaux parisiens »

C’est ce que titre L’Humanité sur sa Une, en gros caractères. Le journal revient sur les « 5 000 emplois supprimés d’ici à 2014, les fermetures d’établissements, les regroupements autoritaires, la recherche affaiblie… ».
Le journal consacre ainsi 3 pages au « dépeçage sur ordonnance de l’AP-HP », parle de « flou artistique sur les restructurations », aborde les « points noirs des restructurations » ou encore remarque : « Exit les soins pour tous, place aux économies drastiques ».
Le quotidien se penche notamment sur l’hôpital Antoine-Béclère, à Clamart (Hauts-de-Seine), où « syndicats et médecins ont déposé un référé pour empêcher la fusion de l’hôpital avec Paul-Brousse et le Kremlin-Bicêtre ».
L’Humanité publie en outre un entretien avec le Pr Daniel Wassermann, ancien chef du centre des brulés de Cochin, « voué à la fermeture », qui « dénonce un gaspillage humain ».
« Tous les gens qui connaissent le traitement de cette pathologie le savent : le traitment d’un grand brulé, c’est l’accumulation d’expérience des personnels qui fait qu’il est performant ou pas. Alors qu’on avait à Cochin un centre reconnu mondialement comme performant, on le barre d’un coup de plume et on crée un nouveau centre sans récupérer les compétences. C’est une perte de chance pour les grands brulés », déclare le praticien.

Revue de Presse Mediscoop du vendredi 09 juillet 2010 

07 juillet 2010

« Dérives intégristes dans les hôpitaux »

Libération publie un entretien avec Isabelle Lévy, essayiste, ancienne secrétaire médicale à l’AP-HP, qui « dénonce des dérives intégristes dans les hôpitaux » et « s’inquiète de la montée des revendications religieuses à l’hôpital ».
Isabelle Lévy se penche ainsi sur le port du voile intégral par des patientes, estimant qu’« il y a un gros malaise. Est-il normal qu’une infirmière passe trois quarts d’heure pour convaincre une femme qui a mal aux oreilles d’enlever son voile ? Ou qu’une autre refuse de dégager son cou alors qu’on doit lui faire une radio panoramique dentaire ? ».
L’essayiste livre des exemples de femmes « reparties [de l’hôpital] sans soins », remarquant que « tous ces refus n’ont aucun sens : les religions monothéistes exigent toutes une transgression des interdits pour sauvegarder une vie ou l’intégralité du corps physique ou mental ».
Isabelle Lévy relève en outre qu’« il n’est plus exceptionnel de voir des médecins ou des soignants porter des signes religieux ostentatoires : voile, kippa, médailles. D’autres font leur prière pendant le service. Certains tiennent des propos prosélytes ou font quelques discriminations dans la prise en charge des patients ».
L’essayiste estime que « la présence d’un responsable religieux capable d’expliquer ce que dit réellement la religion peut permettre de dédramatiser », et conclut que « les directeurs d’hôpitaux, les chefs de services et les cadres de santé doivent faire respecter la laïcité dans leurs établissements. L’hôpital doit rester un lieu de soins ».
 
Revue de presse Mediscoop le 07/07/10

22 juin 2010

Chocolat, élixir du cœur et de l'esprit »

Sandrine Cabut relève en effet dans Le Figaro : « Effet euphorisant, relaxant, stimulant de la mémoire… Les aficionados de la fève de cacao sont convaincus de ses propriétés médicinales ».
La journaliste observe que « depuis une dizaine d'années, les chercheurs s'attellent à les démontrer. Et les preuves commencent à s'accumuler, en particulier dans le domaine cardio-vasculaire ».Sandrine Cabut indique ainsi que « selon une étude allemande conduite pendant 8 ans auprès de 20.000 personnes et récemment publiée dans l'European Heart Journal, la consommation quotidienne d'une quantité modérée de chocolat (7,4 g/jour) réduit de 48% le risque d'accident vasculaire cérébral, et de 27% celui d'infarctus du myocarde ».
« L'effet serait encore plus net avec une consommation de 10 voire 20 g/jour »,
ajoute la journaliste.
Sandrine Cabut remarque que « si plus de 800 composés entrent dans la composition du chocolat, ses bénéfices s'expliquent avant tout par quelques dizaines d'entre eux, appartenant à la grande famille des polyphénols ».
« Il s'agit d'un ensemble complexe de molécules (au moins 500), dont les scientifiques ne cessent de découvrir les bienfaits en prévention des maladies cardiaques, mais aussi des pathologies neurodégénératives, des cancers… »,
continue la journaliste.
Le Pr André Vacheron, cardiologue et membre de l'Académie de médecine, explique qu’« au niveau vasculaire, les polyphénols agissent par plusieurs mécanismes. Ils ont un effet antioxydant sur le LDL cholestérol, ce qui prévient la formation des plaques d'athérome. Ils entraînent aussi une vasodilatation des artères, une inhibition de l'agrégation des plaquettes… ».Sandrine Cabut souligne que « les effets sur le psychisme […] sont moins clairement établis que pour les vaisseaux », puis s’interroge : « Face à ces atouts, peut-on conseiller une consommation quotidienne, et à quelle dose ? ».La journaliste rappelle qu’« il y a quelques mois, l'Académie de pharmacie avait jugé qu'il est prématuré de préconiser un régime enrichi en flavonoïdes. Et il ne faut pas oublier les autres composants du chocolat, glucides et lipides ».
« En moyenne, 100 g de chocolat apportent tout de même 500 calories. […] En France, la consommation moyenne reste raisonnable : 12 g/jour chez les adultes et 15 g/jour chez les enfants. Peut-être la dose idéale pour se faire du bien en étant sûr de ne pas se faire de mal »
, conclut Sandrine Cabut. 

Mediscoop le 21 juin 2010

14 juin 2010

Maladie chroniqe - Expertise infirmière

Contribuer à la qualité des soins est la première mission que la loi a confiée à l’Ordre National des Infirmiers. La seconde est d’assurer la promotion de la profession.

Dans ce cadre, l’ONI entend promouvoir les pratiques des infirmiers dans tous les domaines que la réglementation et leur formation leur permettent. Or, elles vont bien au-delà de l’idée que l’on s’en fait souvent. Paradoxalement, même si la profession infirmière arrive toujours dans le trio de tête des palmarès des professions préférées des Français, l’étendue et la diversité de son exercice restent largement méconnues.

Le rôle joué par les infirmiers connaît en effet des avancées importantes au niveau européen et international, et bien des pays reconnaissent mieux que nous l’intervention des infirmiers dans les équipes de soins et dans tous les aspects de leur exercice :
  • prévention, suivi clinique, éducation thérapeutique et bonnes pratiques requises pour assurer l’égalité d’accès aux soins à des coûts supportables pour le système de santé.
Ce recueil de contributions ambitionne donc de porter à la connaissance d’un large public la richesse des pratiques infirmières. Il a été réalisé en collaboration avec 21 associations,
fédérations et syndicats d’infirmiers qui ont bien voulu se prêter à “Faire connaître les savoirs et savoir-faire des infirmières”

“Le résultat est là : variété, innovation, expertise”

27 mai 2010

« Mal de dos, les méthodes qui marchent »

Le Point, numéro 1967
C’est ce qu’annonce Le Point sur sa couverture. Le magazine passe ainsi en revue « les solutions pour en finir avec le «mal du siècle» »garder une activité », faire de l’exercice physique…).
Le Point revient sur les « fausses idées », explique que « souffrir n’est pas fatal », et aborde « les gestes à ne pas faire, les nouvelles pistes, les risques de la chirurgie ».
L’hebdomadaire livre notamment les propos du Dr Serge Perrot, rhumatologue à l’Hôtel-Dieu à Paris, qui remarque : « Tout ce que je faisais quand j’étais jeune interne, avec la plus grande conviction, était la meilleure façon de prolonger les douleurs des malades. […] Maintenant, on soigne vite, en prescrivant le moins de repos et le plus de médicaments antalgiques possible ».
Le spécialiste ajoute : « Comme dans beaucoup de mécanismes de la douleur, nous ne savons pas pour le dos ce qui fait mal, ou rarement. Il n’y a pas de parallélisme entre ce qu’on voit au scanner ou à l’IRM et l’intensité de la douleur. Il faut être prudent sur ce que l’on fait dire aux images ».
Mediscoop le 27/05/10 

« Le tout premier cœur artificiel arrivera en 2013 »

 Le Parisien indique en effet que « fabriqué en France, le premier cœur artificiel total au monde sera bientôt disponible ».
« De quoi redonner espoir aux patients victimes d’insuffisance cardiaque terminale. Car, chaque année dans le monde, ce sont près de 17 millions de personnes qui en meurent »,
note le journal.
Le quotidien explique qu’« en partenariat avec le groupe EADS, le Pr Alain Carpentier et son équipe [de la société Carmat] se sont mis au travail afin d’élaborer cet organe artificiel. Sept années plus tard, le résultat est bluffant : 900 g tout juste, deux ventricules indépendants, quatre valves, deux oreillettes, un système de régulation… Bref, aussi vrai que nature ».Le Parisien ajoute qu’« une fois implanté, le cœur Carmat est connecté par un système de raccordement électrique à une batterie portée par le patient autour de la taille. D’une autonomie de 4 à 5 heures, cette dernière sera rechargeable entre autres sur un allume-cigare de voiture ou le réseau électrique de son domicile ».Le journal précise qu’« à long terme, des piles combustibles d’une durée de 12 heures seront proposées au malade », et note que l’organe artificiel a « une durée de vie de 5 à 9 ans ».
« Une fois les tests précliniques sur des bovins validés, les premiers essais pourraient avoir lieu dès 2011 dans 6 hôpitaux de France. Si les résultats sont concluants, le premier organe artificiel pourra battre dans le cœur des hommes pour une valeur de 150 000 € »,
conclut Le Parisien.
Mediscoop le 27/05/10

18 mai 2010

« La restructuration de l’hôpital affecte-t-elle la qualité des soins ? »

C’est ce que se demande Le Monde, qui publie sa « contre-enquête ». Le journal observe que « la restructuration de l’AP-HP fait grand bruit. Fronde de médecins, séquestrations de directeurs, pétitions, manifestations… […] Le chantier est immense ».
Le Monde relève notamment que « l’équilibre budgétaire est en vue mais contesté », ou encore aborde « l’immobilisme de l’AP-HP. Si les autres CHU retrouvent peu à peu l’équilibre, ce n’est pas le cas de l’AP-HP. […] Bien des facteurs rendent les changements plus lents qu’ailleurs. […] Pour la première fois, l’institution semble devoir rentrer dans le rang ».
Le quotidien ajoute que « les médecins alertent sur les pressions financières et les risques de suppressions de postes non justifiées médicalement. La tentation est en effet grande de jouer sur les emplois (70% des dépenses) ».
De son côté, La Croix fait savoir que « le conseil municipal vote le «sauvetage» des Hôpitaux de Paris ». Le journal cite en effet Bertrand Delanoë, maire de Paris et président du conseil d’administration de l’AP-HP, qui a déclaré hier que « l’hôpital public de la métropole parisienne est agressé ».
Le quotidien ajoute que « le conseil de Paris a voté un vœu demandant notamment un «plan d’investissement exceptionnel de 2 milliards d’euros supplémentaires sur 10 ans pour permettre la modernisation de l’AP-HP». Il a aussi demandé que «le gouvernement renonce à tout plan de suppressions d’emplois» ».
 
Mediscoop le 11 mai 2010

11 mai 2010

Greffe et don d'organes : Le vendredi 4 juin 2010 de 9 h 30 à 13 h 30 - Asssociation IDEES


Entrée gratuite sur inscription

  • La prise en charge d’un patient en état de mort encéphalique nécessite l’intervention d’une équipe pluri-disciplinaire. Quel est le rôle de l’infirmière coordinatrice dans cette organisation ?
  • En même temps, la famille se retrouve confrontée à l’annonce du décès et à la question du prélèvement d’organes. «Le patient était-il opposé au don d’organes de son vivant ?
  • La prise en charge des proches endeuillés est une priorité pour l’équipe de coordination (médecin, coordinatrice) car, eux seuls sont les témoins de la volonté du défunt, si celui-ci n’était pas opposé au don d’organes sur le registre national du refus.
  • Mais dans toute cette organisation, il ne faut pas oublier qu’une équipe médicale et paramédicale prend en charge ce futur donneur que rien ne distingue d’un patient(e) de réanimation.

Intervenante : Joëlle FLEURY – IDE coordinatrice de prélèvement. Groupe Hospitalier Pitié Salpetrière.

Le vendredi 4 juin 2010 de 9 h 30 à 13 h 30

Centre de Formation Continue du Personnel Hospitalier (CFCPH) - IFSI- Salle A (algéco extérieur IFSI) - Enrichissement des soins infirmiers - Association IDEES - G.H Pitié Salpêtrière - 47 Bd de l’hôpital 75013 PARIS

Déjeuner possible sur place

Confirmation de votre présence souhaitée par émail : idees@cegetel.net ou sur notre répondeur : 06.80 00 80 10
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« 21% des parents ne parlent jamais des dangers liés à la drogue à leurs enfants »

Le Parisien fait savoir que selon un sondage BVA, « 21% des parents ne parlent jamais à leurs enfants des dangers liés à la consommation de drogue, [et] 22% ne leur rappellent jamais que c’est interdit ».
« Or, la plupart des pères et mères se sentent désemparés face à cette situation. Selon les chiffres de ce sondage, «un tiers des parents ne se sentent pas soutenus par des professionnels» »,
observe le journal.
Le Parisien indique qu’« au-delà de la prévention, la famille est la clé de voûte des soins. Son implication améliore de 30% l’efficacité du traitement de l’addiction au cannabis, selon une étude européenne ».
Dans le cadre d’un colloque sur « le rôle de la parentalité dans la prévention des addictions chez les ados », organisé aujourd’hui et demain à Paris par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie, le quotidien interroge Etienne Apaire, président de la Mildt.
Le responsable relève que « les spécialistes ont longtemps considéré les parents comme l’une des causes du problème lorsqu’ils avaient un ado à traiter. Du coup, laissées de côté et peu informées, les familles se sentent souvent mal à l’aise pour aborder ce sujet avec leur progéniture ».Etienne Apaire remarque que « les traitements sont mieux suivis si les parents s’en mêlent. Ils ne doivent pas être en permanence derrière leurs enfants, mais a contrario ne rien dire, c’est criminel ».
« Ce n’est jamais trop tard. Les parents ne doivent pas désespérer. Mais s’ils avalent des pilules le soir pour s’endormir et le matin pour se réveiller, leur discours risque de ne pas être efficace. Il faut qu’ils s’interrogent sur leurs comportements »
, poursuit le président de la Mildt.
La Croix relève également le « rôle clé des parents pour aider les ados à risques ». Le journal publie le témoignage de parents « dont les enfants ont vaincu leur dépendance à la drogue ou à l’alcool ».
Mediscoop le 06/05/10 

13 avril 2010

« Le «cancer du bitume», une maladie sous-estimée »

Les Echos note sur quelques lignes que le « procès intenté par la famille d'un ouvrier du bitume, mort en 2008 d'un cancer de la peau, pour «faute inexcusable» de son employeur, la société Eurovia, filiale du groupe Vinci et géant de la construction des routes, s'est ouvert hier à Bourg-en-Bresse ».
Le quotidien relève que « l'avocat de la famille a souligné que «le comité régional de reconnaissance des maladies professionnelles a reconnu un lien direct entre la maladie de [son] client et son activité professionnelle» ».
« Selon lui, «plus de 4.000 salariés sont exposés chaque année aux émanations de bitume» »,
ajoute le journal.
La Croix aborde également cette affaire, retenant que « le «cancer du bitume» [est] une maladie sous-estimée ».
Le journal rappelle que « le cancer du bitume englobe le cancer de la peau, le cancer des poumons et celui de la vessie », et note aussi que « selon l’Institut national de recherche et de sécurité, 4 200 personnes sont exposées aux fumées de bitumes, à raison de 1 000 heures par an ».
Mediscopp le  13 avril 2010

24 mars 2010

Audition de l'ordre infimier devant la commission des affaires sociales de l'assemblée nationale le 23/03/10

Mesdames, Messieurs les Présidents,



Nous avons comme convenu été auditionné par la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale aujourd’hui .  
L’audition a duré deux heures et les échanges ont été très denses.
Beaucoup de députés ont découvert le fonctionnement réel de notre ordre et notre engagement au quotidien auprès de nos confrères et consœurs .

Je tiens a vous remercier chaleureusement de vos témoignage de soutien qui ont  compté pour cette audition.

Le compte rendu sera rapidement mis en ligne sur le site de l’Assemblée nationale.
Vous trouverez ci-joint le contenu de mon intervention.



Bien confraternellement 

Dominique LE BŒUF 

19 février 2010

Fin de vie : « La Suisse veut taxer la mort »

Le Parisien se penche sur « le choix tragique que sont amenés à faire des Anglais, des Allemands ou encore des Français atteints de maladie incurable qui viennent recourir en Suisse au «suicide assisté» ».

Le quotidien constate que « ce «tourisme» si particulier suscite de plus en plus de réactions dans la classe politique suisse. Au niveau fédéral, une consultation réfléchit à mieux encadrer cette pratique ».

Le journal relève que « certains politiques vont jusqu’à réclamer l’instauration d’une «taxe sur la mort». Ils proposent d’imposer une amende de 50 000 F suisses (34 000 €) aux associations pour chaque suicide assisté d’étrangers qu’elles réalisent ».

Le Parisien remarque sur la même page qu’en France, « après des mois de travaux, la mission menée par Jean Leonetti et Gaétan Gorce [sur la fin de vie] a abouti à une proposition de loi visant à créer une allocation journalière d’accompagnement d’une personne «en phase avancée ou terminale d’une affection grave et incurable» ».

Revue de presse Mediscoop du 17 février 10

Création de l’Observatoire de la fin de vie

Libération note sur quelques lignes que Régis Aubry, chef de service de soins palliatifs à l’hôpital de Besançon, « va être nommé président du tout nouvel Observatoire de la fin de vie créé par le ministère de la Santé ».

Le journal livre les propos du médecin, qui indique qu’« on ne sait pas comment et dans quelles conditions les gens meurent en France. Nous allons donc observer les conditions et les pratiques autour de la fin de vie. Mais aussi communiquer autour de la loi Leonetti ».
A propos de celle-ci, Régis Aubry remarque ainsi : « J’ai le sentiment qu’on progresse, en particulier dans les secteurs de la réanimation. Mais bien des questions demeurent, comme la chronicisation des maladies aiguës en neurologie et en cancérologie. Que faire ? Il faut réfléchir à la survie que l’on provoque ».

Le Monde revient quant à lui sur la nouvelle allocation d'accompagnement d'un proche en fin de vie. Le journal constate que « plusieurs points font débat, et surtout le fait que seul l'accompagnement à domicile sera rémunéré. Ce choix laissera de côté bon nombre de personnes, 75% des malades décédant à l'hôpital ».

« Si la volonté d'élargir la mesure à l'accompagnement à l'hôpital semble faire consensus parmi les députés, tout le monde sait que le coût, 20 millions d'euros par an, s'envolera... », remarque le quotidien.

Revue de Presse Mediscoop du jeudi 18 février 2010

17 février 2010

La pratique clinique infirmière, entre concepts et diagnostics LE 2 AVRIL 2010 - PARIS 13

Bonjour à tous,

Il ne vous reste plus qu’1 mois pour vous inscrire à notre journée régionale AFEDI, dont l’objectif est de mettre en lien les théories de soins infirmiers, les concepts, la pratique clinique infirmière et le raisonnement diagnostic que nous retrouvons dans le nouveau programme de formation ide.

Cette journée s'adresse tout particulièrement à ceux ou celles qui encadrent des étudiants, infirmières, tuteur de stage, cadre de santé ou formateur mais aussi à ceux qui souhaitent poursuivre un cursus universitaire...

Vous pourrez également échanger sur vos pratiques avec des confrères belges, suisses, canadiens...

Date limite d’inscription le 15 mars 2003

Voir la plaquette (cliquez ici)

En espérant vous voir nombreux

Cordialement

Isabelle EL-KHIARI
Responsable du Secteur AFEDI IdF
Conseillère Départementale de l’Ordre IDE de l'ESSONNE
Infirmière Clinicienne, Sophrologue Caycédienne en EMSPD
Hôpital Joffre - Dupuytren
Service A3, Equipe Mobile Soins Palliatifs - Douleur
1 rue Eugène Delacroix 91210 DRAVEIL (FRANCE)
Tel : 01.69.83.62.06
Courriel : isabelle.elkhiari@jfr.aphp.fr

15 janvier 2010

Un climat de plus en plus dégradé dans les hôpitaux

Manque de tact des soignants ou agressivité des malades :
le médiateur est saisi de nombreuses plaintes.

A lire sur le lien Figaro -Santé du 12/01/10 - Delphine Chayet

http://www.lefigaro.fr/sante/2010/01/11/01004-20100111ARTFIG00671-un-climat-de-plus-en-plus-degrade-dans-les-hopitaux-.php

07 janvier 2010

Bien-traitance et soins infirmiers - le 5 février 2010 de 9 h 30 à 13 h30


La bientraitance est un nouveau concept qui ne figure pas encore dans les dictionnaires, mais a déjà trouvé sa place dans le manuel de certification V2010 de la HAS et dans les recommandations de bonnes pratiques à destination du secteur social et médico-social de l'Anesm.
· Quelle peut en être l'intérêt concret pour des soignants qui ne manquent pas de ressources pour donner du sens à leur action ?
· Comment différencier la bientraitance de l'empathie, de la sollicitude ou du prendre soin ?
· Comment s'incarne la bientraitance entre soignants et patients, ou entre soignants et familles des patients, dans des moments où le projet de soin ne peut se faire sans eux ?
· Et dans cette recherche collective du "mieux possible" qu'est la bientraitance, quelle est la place réservée au soignant ?
· Peut-on parler de bientraitance des soignants, dans des institutions parfois si peu humaines envers eux ?
· Ce sont tous ces points qui seront soulevés, avec des propositions de concepts, des récits du quotidien et surtout, une grande place pour l'échange.
Intervenante :
Alice Casagrande – Philosophe –
Déléguée nationale qualité, gestion des risques et promotion de la bientraitance,
direction santé autonomie, Croix-Rouge française

Le vendredi 5 février 2010 de 9 h30 à 13 h 30
Amphithéâtre A 1er étage de l’école d’anesthésie –IADE – Bâtiment école de labo
Enrichissement des soins infirmiers - Association IDEES -
G.H Pitié Salpêtrière - 47 Bd de l’hôpital 75013 PARIS

Déjeuner possible sur place
Entrée gratuite sur inscription
Confirmation de votre présence souhaitée par émail :

idees@cegetel.net



Voir le dossier :
- La revue de l'Infirmière - Editions ELSEVIER/MASSON - Nov 2009 N° 155

dossier
page 15
Pascal Rautureau

pages 16-17
Alice Casagrande

pages 19-21
Éric Zaoui

pages 22-24
Françoise Ertel, Fabienne Monsoreau, Françoise Lamberdiere, Martine Simon-Marzais, Marie-Agnès Garo, Véronique Desjardins

pages 25-26
Dominique Lemoine-Bernini, Antoine Secondi

pages 27-28
Dominique Gérard

Rapport "La maltraitance "ordinaire" dans les établissements de santé - 2009 - Claire Campagnon et Véronique Ghadi -(cliquez ici)

Recommandations de bonnes pratiques professionnelles.
La bientraitance : définition et repères pour la mise en oeuvre.
Anesm (cliquez ici)