03 novembre 2011

Musicothérapie et Soins Infirmiers - 2 Dec 2011

L'association IDEES vous propose une nouvelle matinée thématique

 
Entrée gratuite sur inscription

Musicothérapie et Soins Infirmiers 

       La musicothérapie s’inscrit dans l’utilisation des méthodes non médicamenteuses, en accompagnement des techniques médicamenteuses ou non, pour permettre une prise en charge de qualité du patient au cours de son parcours de soins. Elle participe à sa prise en charge globale physique et psychique, par le moyen d’une technique spécifique entrant dans le champ des approches psycho corporelles.
         Au cours de cette matinée, après un éclairage théorique sur la musicothérapie, nous présenterons, en articulation avec des vignettes cliniques :
-       la technique de musicothérapie dans ce champ expérientiel des soins généraux : la relaxation psychomusicale.

-       un vécu par chacun(e) des participant(e)s d’une courte séance de relaxation psychomusicale.

-       les domaines d’application : pédiatriques et adultes.

-       les objectifs et intérêts de la technique : une prise en charge harmonieuse.

-       le partenariat et l’étroite collaboration avec l’équipe infirmière, aide-soignante.

-       exposé de situations cliniques dans la collaboration infirmière en secteurs adulte et pédiatrique.

Intervenante :
Sabine METAYERMusicothérapeute –  Infirmière  – CHU NECKER Enfants Malades – Paris 15ème.


Vendredi 2 décembre 2011 de 9 h 30 à 13 h 00

Centre de Formation  Continue du Personnel Hospitalier (CFCPH)
CFCPH Salle 107 – 1er étage de l’IFSI
Enrichissement des soins infirmiers - Association IDEES
G.H Pitié Salpêtrière
47 Bd de l’hôpital 75013 PARIS

 Déjeuner possible sur place

                                                    Inscription par émail : idees@cegetel.net                 

21 octobre 2011

A l'hôpital, les conditions de travail au centre des revendications


Les Echos rappelle que « les agents de l'Etat et des hôpitaux élisent aujourd'hui leurs représentants […] au sein des instances de dialogue social (CAP, comités techniques, etc.) ».
Le journal relève notamment qu’« à l'hôpital, les conditions de travail [sont] au centre des revendications. […] Avant les questions de salaires, de retraite ou de formation, c'est la première préoccupation des agents à l'hôpital, affirment les syndicats ».
Dominique Coiffard (CFDT) déclare qu’« il y a un profond malaise chez les agents. Le temps de travail a été réduit, mais sans réflexion sur son aménagement, ce qui a perturbé l'organisation des services. Et l'empilement des réformes successives est souvent mal compris et mal accepté ». De son côté, Philippe Crépel (CGT) note que « le manque d'effectifs lié au manque de moyens explique une grande partie des dysfonctionnements, et les agents en sont conscients ».
Les Echos remarque que « ce malaise est confirmé par une enquête menée par la CFDT dans 492 hôpitaux. Plus de 56.000 infirmiers, aides-soignants, kinés, techniciens de laboratoire ou agents administratifs y ont répondu. Consignes contradictoires, manque de reconnaissance et de concertation, fatigue, démotivation, manque d'effectifs, sont les problèmes les plus souvent cités ».
Le quotidien poursuit : « Autre preuve de ce malaise, en début d'année, les infirmiers ont massivement choisi de rester en catégorie B au lieu de passer en catégorie A comme ils en avaient la possibilité. La moitié d'entre eux ont préféré conserver leur droit à la retraite anticipée plutôt que d'améliorer leur rémunération. Paradoxalement pourtant, l'hôpital n'a pas connu de conflit social important depuis très longtemps ».

Revue de presse Médiscoop du 20/10/2011

08 juillet 2011

10 ans de l'association IDEES le 14 octobre 2011 - La clinique infirmière

Nous fêterons les 10 ans de l'association le 14 octobre 2011 de 17 h à 22 h à l’amphithéâtre de l'IFSI du groupe hospitalier Pitié Salpétrière - Paris 13 - 


 Thème : clinique infirmière.


Nous vous attendons très nombreux.

Entrée libre sur inscription : idees@cegetel.net




Le programme est disponible ici 
L'affiche est téléchargeable ici


Nous avons le plaisir et l'honneur d’accueillir Louise Gagnon comme grand témoin 


Programme :


17h45 à 18h : Présentation de l’Association IDEES par les membres du Conseil d’Administration


TABLE RONDE 1  


18h à 18h15 : « L’évolution des pratiques cliniques en France et au Québec ».

  • Louise Gagnon, Infirmière, PHD université des Sciences - Infirmières, Montréal, Québec

18h20 à 18h40 :  « Bref historique de la formation Enrichissement des Soins : de la création à de nos jours ».


  • Nicole Jacquemin, Fanny Male, Magguy Romiguière et Eric Zaoui : Infirmièr(e)s, Cadres supérieurs, formateurs consultants au CFCPH

18h40 à 19h : « L’approche clinique infirmière et un exemple : la place du génogramme dans les situations de soins ».


  • Danièle Lecouster, Infirmière, Spécialiste clinique, formatrice et consultante dans les domaines de la douleur et des soins palliatifs
19h à 19h15 Questions/réponses et échanges entre les participants sur la clinique infirmière



TABLE RONDE 2

19h20 à 19h35 : « L’évolution de la population des étudiants en IFSI : la nouvelle donne générationnelle ».

  • Véronique Marin La Meslée, Infirmière, Directrice des soins, Directrice de l’IFSI de la Pitié-Salpêtrière

19h40 à 19h55 : « L’évolution de la profession et des pratiques cliniques des infirmières : quels enjeux majeurs ? »

  • Régine Clément, Infirmière, Directrice des soins d’un EHPAD près de Paris, Editorialiste de la Revue de l’Infirmière.

20h à 20h15 : « La citoyenneté dans le champ de la santé. »

  • Chantal Deschamps, Infirmière, cadre, médiatrice, ancienne représentante infirmière au sein du Comité Consultatif National d’Ethique
20h20 à 20h40 : Questions/ réponses et échanges entre les participants sur la clinique infirmière

21h à 21h45 : échange autour d’un buffet




Pascal Rautureau

05 mai 2011

Journée migrants - Hôpital Avicenne 93 - 7 juin 2011

Migration, femmes et prévention

Une journée migrants sous le parrainage de Sihem Habchi, présidente de "Ni putes, ni soumises" 

et Chantal Deschamps, ex-membre du Comité Consultatif National d'Ethique comme grand Témoin de cette journée.

Vous trouverez ci- joint le programme de cette journée inter-culturelle.


Programme recto
Programme verso
Affiche
Pascal RAUTUREAU - pour IDEES 

06 avril 2011

Financement des RÉSEAUX de santé : la prise en charge en ville des patients, le soutien des proches et des professionnels en danger !

Les 90 réseaux de santé franciliens se mobilisent face à une situation financière critique : après avoir subi une baisse de 13% de leur budget début 2011, aucun d’entre eux n’a encore reçu le versement de la part de l’Assurance Maladie prévu début mars.
Pour de nombreux réseaux, ceci veut dire l’absence de salaire pour les personnels et de grandes difficultés de fonctionnement.

Cette situation a des conséquences sur la capacité de leurs équipes composées de médecins, d’infirmiers, de
psychologues, de diététiciens, d’assistants sociaux et d’administratifs…, à poursuivre leurs actions et à mettre à disposition de tous les franciliens un service de qualité en ville.

Ce qui est en jeu :
• L’assurance d’une prise en charge globale : médicale, psychologique et sociale.

• L’orientation du patient en fonction de l’offre de soins disponible sur la ville.

• La mise à disposition de professionnels experts.

• La garantie d’un maintien à domicile de qualité veillant à la sécurité des patients complexes, tout en soutenant leur entourage et les soignants.

• La coordination de l’ensemble des ressources, aides humaines et matérielles, nécessaires au maintien à domicile en garantissant le lien avec tous les acteurs de la ville et de l’hôpital.

• La continuité dans la prise en charge du patient, en respectant la gradation des soins au service de son parcours de santé.

• L’accompagnement et le conseil apportés aux professionnels de proximité : médecins traitants, infirmiers, psychologues, kinésithérapeutes, diététiciens, ergothérapeutes, pharmaciens, aides soignantes, aides à domicile… tout en respectant les spécificités de chacun et sans se substituer à eux.

• L’accès à la prévention et l’éducation thérapeutique.

• La formation des professionnels de santé, médico‐sociaux et sociaux et l’information du grand public.

• La gratuité des services rendus aux patients, à leurs proches et aux professionnels.


En conséquence, les représentants des Réseaux de santé d’Ile‐de‐France demandent à leurs tutelles, l’ARS Ile‐de‐France et la CRAMIF, de réagir rapidement pour que les engagements financiers soient tenus et que les Réseaux de santé puissent surmonter ces difficultés.

Ils seront présents à la manifestation du samedi 2 avril à Paris pour le droit à la santé pour tous.
Ils ont mis en place un manifeste de soutien intitulé « la continuité des soins en ville en danger » sur
www.petitionenligne.fr (catégorie santé).

Le Comité de Défense des Réseaux de santé Franciliens
« Réseaux de santé franciliens : la continuité des soins en ville »

Plus d’information :
UNR.Santé : Union Nationale des Réseaux de santé
www.unrsante.fr

FEDERASIF: Fédération des Réseaux d’Accès aux Soins d’Ile‐de‐
France ‐ vmichel.federasif@gmail.com

FREDIF: Fédération des Réseaux Diabète d’Ile‐de‐France –
www.fredif.fr

Réseaux de santé Périnatalité
FREGIF : Fédération des Réseaux de santé Gérontologiques
d’Ile‐de‐France ‐
www.fregif.org

ONCORIF : Réseau régional de cancérologie d'Ile‐de‐France ‐
www.oncorif.fr

RESPALIF : Fédération des Réseaux de santé en Soins Palliatifs
d’Ile‐de‐France –
www.respalif.com

RESODIF : Réseaux d’Ile‐de‐France ‐ rzodif@gmail.com

COMMUNIQUÉ DE PRESSE Jeudi 31 mars 2011
Chiffres clés : les Réseaux de santé en Ile‐de‐France
90 réseaux de santé en Ile‐de‐France
Nombre de patients pris en charge par les Réseaux de santé d’Ile‐de‐France : 22 500 patients par an
Coût moyen annuel d’un patient pris en charge par un réseau : 1400 € environ/an

Les réseaux de santé permettent la diminution du nombre de jours d’hospitalisation et de passages aux urgences (au regard du coût journalier moyen d’une hospitalisation : 1000 €).

Contact Presse : Olivia Reibel, oliviareibel@fregif.org 01 46 72 35 65
Elisabeth Royet, federation.respalif@orange.fr 01 53 61 41 95

Soutenez l'action des réseaux de santé en signant la petition intitulée « la continuité des soins en ville en danger » sur
www.petitionenligne.fr (catégorie santé).

Pascal Rautureau - infirmier coordinateur - réseau de soins palliatifs Népale (91)

25 mars 2011

Alliance thérapeutique en néphrologie

Bonjour à toutes et tous,

J'ai le plaisir de vous inviter à vous connecter sur le site Athéné : Alliance THErapeutique en NEphrologie.
Conçu pour les acteurs de santé, vous y trouverez des informations riches et variées au sujet de l'éducation thérapeutique, des interviews, des vidéos d'experts, des partages d'expériences...
Il vous suffit de vous connecter, de remplir quelques renseignements et vous recevrez rapidement un mot de passe pour consulter le site.

http://www.athene-etp.fr/athene


Bonne visite, à bientôt sur le site


Laurence Bouffette
Coordinatrice
Accompagnement et éducation thérapeutiques

16 mars 2011

« L’«open space» file le bourdon »

Libération


Dans le cadre de la 14e Journée nationale de l’audition, aujourd’hui, Libération remarque : « Téléphones, machines à café, discussions entre collègues… Plus d’un tiers des Français souffrent du bruit sur leur lieu de travail, d’après un sondage réalisé par Ipsos ».
Le journal précise que « les ouvriers sont les plus nombreux (57%) à souffrir du bruit. Alors que dans les bureaux, 36% des employés et 28% des cadres supérieurs et des professions intermédiaires l’endurent en silence ».
Libération explique que « ces petites nuisances sonores ont pourtant des conséquences. Les bruits persistants provoquent des troubles psychologiques tels que l’anxiété, le mal-être ou l’insomnie. Ainsi, 58% des sondés souffrant du bruit montrent des signes de fatigue, 51% d’irritabilité, 37% éprouvent des migraines ».
Le Pr Christian Gelis, président de la JNA, observe que « dans l’industrie, les dangers sanitaires liés au bruit sont reconnus. Ailleurs, ils passent inaperçus ».
Le quotidien relève notamment que « selon l’étude, 51% des personnes qui travaillent en open space souffrent du bruit »
Le Pr Gelis estime que « ces espaces devraient tous être supprimés, ils n’ont aucune isolation acoustique. Pour les employés, c’est l’horreur », et conseille d’« isoler tous les objets potentiellement bruyants ». 

Source Mediscoop le 16/03/11

01 mars 2011

Ordre infirmier : Où en sommes -nous ?

Chèr(e)s adhérent(e)s, chèr(e)s collègues, 

L'association IDEES a le plaisir de vous faire part de sa prochaine matinée thématique le 18/03/2011 de 10 h 00 à 13 h 00. (télécharger l'affiche ici)
Celle-ci sera précédée de notre assemblée générale (9 h 00 à 9 h 45) - réservée aux adhérents et aux personnes qui souhaitent s'investir dans le conseil d'administration. 

Entrée gratuite sur inscription


Ordre Infirmier : où en sommes nous ?

  • Bilan des actions mises en place par l’Ordre depuis sa création. 
  • Nouveaux rôles infirmiers - promotion et valorisation des pratiques infirmières : de quoi parle-t-on ? 
  • Que pense de l’Ordre sur le développement de la clinique infirmière et la valorisation des spécialités cliniques ? 

Intervenants :

Madame Myriam Petit : Présidente de l’Ordre National des Infirmier(e)s des Hauts de Seine, secrétaire de l’ordre National infirmier. 

Monsieur André Verdier : Membre de l’ordre infirmier départemental des Hauts de Seine, Commission des dossiers. 


Vendredi 18 mars 2011 de 10h à 13 h 00

Centre de Formation Continue du Personnel Hospitalier (CFCPH) 
IFSI- Salle A (algéco extérieur IFSI) 
Enrichissement des soins infirmiers - Association IDEES 
G.H Pitié Salpêtrière 
47 Bd de l’hôpital 75013 PARIS 

Déjeuner possible sur place
Confirmation de votre présence souhaitée par émail : idees@cegetel.net                  
 

16 février 2011

Faut-il légaliser l’assistance au suicide en cas de souffrances incurables ?

Euthanasie, non merci ! Donnons des moyens aux soins palliatifs

Par isabelle Lorand, chirurgienne.


Le droit d’administrer des traitements antalgiques et sédatifs qui accélèrent le décès, l’abstention de réanimation ou de traitements actifs sont autorisés par la loi Leonetti. L’acharnement thérapeutique est d’ores et déjà hors la loi. Aller plus loin, c’est autoriser l’aide au suicide parce que la vie est jugée comme insupportable par la personne elle-même. Parmi ces demandes, il faut distinguer le cas des personnes qui ont la capacité physique de se suicider et qui pourtant demandent à la société de le faire. J’exclus pour ma part d’accéder à cette demande. Le droit de suicider autrui serait un recul anthropologique à la hauteur de ce que fut l’évolution de l’interdiction de la peine de mort. En outre les instigateurs d’une telle possibilité devraient répondre à une question. Quelle douleur est « digne » du suicide assisté ? La douleur physique, la douleur psychique : cancer, handicap, Alzheimer, schizophrénie… Pente glissante. Beaucoup plus discutable à mes yeux, l’assistance au suicide de personnes si handicapées qu’elles ne peuvent effectuer le geste elle-même, cas rarissimes et par nature particuliers. Loi ou pas loi, il s’agira d’une exception d’ordre juridique et non médical. Il faudra des juridictions pour évaluer s’ils entrent dans le cadre de l’acceptable. C’est de fait déjà ainsi.

L’euthanasie stricto sensu consisterait à donner la mort à des patients au stade palliatif mais n’ayant pas atteint le stade ultime de la maladie. Car le stade palliatif n’est plus, et loin s’en faut, le stade ultime de la maladie. Les progrès de la médecine ont permis de sortir d’une situation binaire : guérison ou issue fatale. L’ambition est aujourd’hui de permettre aux patients de vivre bien et longtemps malgré leur maladie. Le soin palliatif n’est plus un échec mais un enjeu médical. Très loin de ces reportages sordides sur l’expérience suisse, ou des gens totalement autonomes font une fête au café du village avant d’aller acheter l’injection fatale.

La Déclaration universelle des droits de l’homme proclame que tous les hommes sont égaux en dignité. De la naissance à la mort. Et même après la mort. Ce qui justifie l’indignation face aux profanations. La dignité est consubstantielle de l’humanité. Alors que signifie le droit à mourir dans la dignité. Certains mourraient dans la dignité, et d’autres pas ? Mais alors, qu’est-ce que mourir dans l’indignité ? Quel malade serait exclu de la communauté humaine ? Et là, on ne joue pas avec les mots. Dans cette société marquée par la loi du plus fort, de la concurrence, du corps parfait… le malade est évincé. Les gens en fin de vie ne parlent pas tant de leur douleur physique, les médicaments sont là. Mais de la déchéance sociale qui leur est insupportable. Sous des formes multiples, les cheveux qui tombent, la peau sèche, le maquillage défaillant : le malade, le vieux ne répond pas aux canons en vogue… Il y a les signes extérieurs de maladie. Et il y a tous ces petits actes de la déconsidération. Les intellectuels à qui on ne parle plus de livres, les militants à qui on ne parle plus de politique, les mamans maternées par leurs enfants… Un malade est une personne. Cette exclusion de la maladie, de la fin de vie, correspond à une tendance très lourde des civilisations occidentales : la désocialisation de la mort et de leurs proches. Plus d’un quinquagénaire sur deux vivants dans les grandes villes n’a jamais vu un mort. La première souffrance des vieux est la solitude. Hier, la mort était un tabou. Elle est aujourd’hui déniée. C’est dire l’importance déterminante des soins palliatifs. Le temps des mouroirs est révolu. Celui de la prise en charge exclusive de la douleur également. Esthéticiennes, art thérapeutes, psychologues, aides familiales… les soins palliatifs sont des espaces de socialisation. D’ailleurs les formes en sont multiples : unités d’hospitalisation, unités volantes, soins à domicile, aussi variées que les attentes des malades. Autant dire que leurs moyens n’est pas une question annexe. Il y a 500 lits d’hospitalisation. Il en faudrait au moins 3 000. Alors, j’affirme avec fermeté que le retard au déploiement de la loi Leonetti et la crise tragique de l’hôpital public ne peuvent en aucun cas justifier l’euthanasie.

Le débat sur la fin de vie prend des formes passionnelles alors que le rapport à la mort mérite le débat le plus rationnel, le plus éclairé, le plus démocratique possible. Axel Kahn affirme que ce débat doit « exclure tout schématisme, tout réductionnisme simplificateur ». Très loin de la démocratie sondagière. Permettre un débat populaire serein s’appuyant sur un bilan de la loi Leonetti devrait être l’objectif des progressistes. Les parlementaires ne pourraient-ils pas en être à l’initiative ? Multiplier les formes permettant d’associer le plus grand nombre. Investir les médias dans ce débat. Engager une consultation dans les écoles, les entreprises, les quartiers… Le récent débat public sur le Grand Paris démontre l’utilité de telles consultations. Pourquoi ne pas envisager une conférence citoyenne, et même un référendum. Sur une question aussi sensible, qui transcende les courants de pensée, le rôle du législateur n’est-il pas de donner au peuple le pouvoir de décider ?

Dr Isabelle Lorand dans TRIBUNES -  le11 Février 2011

27 janvier 2011

Euthanasie - L'ordre infirmier se positionne "Les infirmiers souvent seuls au chevet des patients en fin de vie"

Mesdames, Messieurs les Présidents,

Vous trouverez ci-joint le communiqué de presse de ce jour concernant les débats sur la Proposition de loi

· de M. Jean-Pierre GODEFROY et plusieurs de ses collègues relative à

· l’aide active à mourir,

· de M. Guy FISCHER et plusieurs de ses collègues relative à l’euthanasie volontaire,

· de M. Alain FOUCHÉ relative à l’aide active à mourir dans le respect

· des consciences et des volontés,

Bien cordialement

Dominique LE BŒUF
présidente de l'ordre infirmier


24 janvier 2011

Hypnose et projet hospitalier de recherche infirmière - le 4 février 2011 de 9 h 30 à 12h

Développer un projet de recherche en soins infirmier - 

PHRI en pédiatrie 

o Pourquoi ?

o Pour qui ?

o Comment ?

o Avec qui ?

L’hypnoanalgésie : 

o Qu’est-ce que c’est ?

o Comment ça marche ?

o Pour qui ?

o Comment ?

Intervenante : Nathalie DUPARC – Infirmière ressource douleur – CHU Robert Debré - Paris 19



Vendredi 4 février 2011 de 9 h 30 à 12 h 00 




Centre de Formation Continue du Personnel Hospitalier (CFCPH) 

IFSI- Salle A (algéco extérieur IFSI) 

Enrichissement des soins infirmiers - Association IDEES 

G.H Pitié Salpêtrière 

47 Bd de l’hôpital 75013 PARIS 



Déjeuner possible sur place 


Confirmation de votre présence souhaitée par émail : idees@cegetel.net



Gratuit sur inscription


Voir l'affiche