23 novembre 2008

Culture et soins infirmiers « Expériences infirmières dans la prise en charge des patients migrants d’origine Africaine »


Histoire de la migration
  • Origine et motif
Qui sont ces migrants ?
  • Définition de l’ethnomédecine et de la culture
Médecines parallèles
  • Représentation de la maladie
  • Le secret de la maladie
  • Médecine traditionnelle
  • Sorcellerie, magie, marabout…
Thèmes abordés avec des cas concrets :
  • Soigner quand le patient ne parle pas notre langue !
  • La symbolique du sang
  • L’éducation alimentaire (chez les musulmans d’Afrique du nord)
  • Les rites funéraires à connaître

Présentation de l’association « Les femmes médiatrices » de Pantin

Présentation de l’association « Démé » par Pierrette Labailly (vice-présidente)

Présentation du « groupe migrants » de l’hôpital Avicenne

Intervenante : Delphine LECLERC - Infirmière – Membre du groupe migrants – Service
des maladies infectieuses - Hôpital Avicenne – Bobigny (93)

Vendredi 12 Décembre 08 - 9 h 30 à 13 h 30
IFSI - Salpêtrière
G.H Pitié Salpêtrière
47 Bd de l’hôpital 75013 PARIS
Déjeuner possible sur place
Confirmation de votre présence par émail :idees@cegetel.net

Accompagner dans la durée : un défi pour la clinique - 1ère journée des infirmiers cliniciens

21 janvier 2009
Centre Hospitalier Sainte Anne Bâtiment C
1, rue Cabanis 75674 PARIS Cedex 14 Tél. : 01.45.65.73.15 Fax : 01.45.65.73.58
www.ch-sainte-anne

Actuellement la pratique clinique se diversifie et se développe en France façon importante. Afin de partager leurs expériences, de communiquer sur les travaux réalisés, et d’éclairer une réflexion appuyée théoriquement des rencontres régulières entre cliniciens apparaissent comme incontournables.
Le thème a été choisi en référence aux difficultés spécifiques de certains secteurs, face notamment à la complexité des soins dispensés aux patients atteints d’affections de longue durée.
Nous avons voulu partager avec d’autres
ces expériences enrichissantes et sensibles : c’est la raison de cette journée.

9h00 Accueil

9h30

Soigner dans le temps : le challenge quotidien des infirmiers cliniciens
Rosette Poletti : Docteur en Sciences infirmières
Questions et débats avec la salle

11h00

Comment utiliser ses ressources internes dans l'accompagnement de longue durée
Anne Marie Filliozat : psychanalyste, psychosomaticienne
Questions et débats avec la salle

12h30 - 14h00 : Déjeuner libre


14h à
15h45 Ateliers :
Présentation par les infirmières cliniciennes "L'accompagnement dans tous ses états"

1er Atelier :

Champ des personnes âgées (problématique de douleur)
Intervenante :
Isabelle El Khiari
Animatrice :
Ursula Reinfelder

2ème Atelier :

Champ des soins palliatifs (problématique de positionnement)
Intervenante :
Bénédicte Bellart
Animatrice :
Jacqueline Burton

3ème Atelier :

Champ de la psychiatrie (problématique familiale)
Intervenants : Florent Dulong et Christelle Duqueff
Animatrice : Béatrice Veissière

16h00 Retour ensemble


Pratique pour ancrer ses ressources

Anne Marie Filliozat : psychanalyste, psychosomaticienne

16h30

Conclusion

Responsables pédagogiques
: Mireille Saint Etienne et Philippe Svandra

Bulletin d'inscription: cliquez ici

19 novembre 2008

AP-HP : « On mange mal, mais on est bien soigné »

Le Parisien note dans ses pages locales que « 4 500 patients ont été interrogés sur leur séjour dans 24 hôpitaux de l’AP-HP », en novembre et décembre 2007.
Le journal publie les résultats de cette enquête dénommée Saphora, et retient que « la qualité des repas [est] toujours bonne dernière ».
« Des aliments qui n’ont pas de goût, servis en trop petite quantité et souvent froids… Les repas n’ont jamais été le point fort de l’AP-HP et c’est encore pire cette année », observe le quotidien.
Le Parisien indique ainsi que « seules 6 % des personnes interrogées jugent «très positive» la qualité des repas. Ils étaient 8 % en 2004. Idem pour la variété des plats… Seuls 9 % la considèrent comme «très satisfaisante», contre 11 % ».
Le journal relève en outre que « seuls 24 % des patients qui ont transité par un service des urgences du réseau AP-HP se déclarent «très satisfaits» de l’accueil. Et ils ne sont que 26 % à juger bonne la qualité des soins dans ces services ».
Le Parisien note cependant que « la qualité des soins [est] jugée excellente ».
Le quotidien remarque que « 72 % des patients jugent très bon le comportement des médecins et 71 % celui du personnel. 69 % apprécient la politesse et l’amabilité de ces derniers. La compétence des médecins est jugée très bonne à 52 % ».
« Et dans un domaine pointu comme la chirurgie, 74 % des patients estiment avoir très bien compris les informations données par le praticien », ajoute le journal.
Le Parisien publie la liste des « mieux notés » et des « moins bien notés », Rothschild (Paris XIIème) figurant en première place avec 75/100, et Foix-Rostang (Ivry-sur-Seine) en dernier avec 66/100. Le quotidien explique que « trois critères ont été retenus : la qualité des soins, le confort et l’organisation de la sortie ».
Le journal observe enfin que « pour que l’indice de satisfaction soit meilleur à l’avenir, l’AP-HP a décidé d’améliorer l’accueil, le confort et la restauration. Et de regrouper toutes les bonnes initiatives de ses établissements sous une marque AP-HP pour que les patients puissent bien les identifier ».

Mediscoop le 18 novembre 08

13 novembre 2008

Canada - Lancement d’une nouvelle philosophie de soins :

Les infirmières adoptent le Caring


Alma, le 12 novembre 2008 - / LBR.ca / -

Le Conseil des infirmières et infirmiers du Centre de santé et des services sociaux de Lac-Saint-Jean-Est lançait, hier, la nouvelle philosophie de soins de l’établissement, le Caring, philosophie issue d’un mouvement de pensée correspondant davantage à la pratique d’aujourd’hui.

Effectivement, le Caring prône une approche respectueuse de la personne comme étant un tout indivisible et unique, ne pouvant être dissociée de son environnement. Cette philosophie met en valeur la nécessité de construire une relation de confiance et d’harmonie entre l’infirmière, le patient et sa famille.

Selon Caroline Guay, directrice des services cliniques et des soins infirmiers, « le temps était venu, pour notre établissement, de moderniser nos pratiques de soins. La demande a émergé du personnel infirmier qui souhaitait s’identifier à une culture de soins prenant davantage en considération la relation qui s’établit entre l’infirmière, le patient mais également l’entourage de ce dernier pour être en mesure d’adapter les soins et services offerts au mode de vie de chaque patient. »

Pour sa part, Audrey Émond, présidente du Conseil des infirmières et infirmiers de l’établissement, soulignait que « l’adoption de cette philosophie vient appuyer et inciter le personnel soignant dans ses capacités à aller au-delà de ses connaissances scientifiques en utilisant son expérience clinique, son intuition et sa connaissance du vécu du patient pour mieux saisir tout changement dans son état et y réagir adéquatement. Nos membres sont fiers de s’identifier à cette nouvelle philosophie de soins beaucoup plus axée sur les êtres humains que nous sommes, tant du côté des patients que des soignants. »

Les infirmières et infirmiers porteront dès la semaine prochaine une nouvelle carte d’identification arborant les couleurs de cette nouvelle philosophie. Les usagers du CSSS sont invités à poser des questions aux membres du personnel identifiés au Caring pour en connaître davantage sur les changements encourus par son application.


Source :
Marie-Karlynn Laflamme
Conseillère en communication
CSSS de Lac-Saint-Jean-Est - Canada

03 novembre 2008

« Des Français mettent au point le premier coeur artificiel »


Les Echos consacrent un article à un « événement mondial en chirurgie ».
Le journal indique en effet qu’« une équipe française fait battre le premier coeur artificiel ».
Le quotidien explique que « depuis 15 ans, Alain Carpentier travaille en secret avec EADS sur ce concept révolutionnaire. Le chercheur a combiné des matériaux biocompatibles avec une électronique embarquée de pointe pour imiter l'organe humain ».
Les Echos notent qu’« il s'agit du premier prototype de coeur artificiel implantable qui imite à la quasi-perfection […] le fonctionnement de l'organe humain ».
Le journal cite le Pr Carpentier, directeur du Laboratoire d'études des greffes et prothèses cardiaques de l'Hôpital européen Georges-Pompidou, à Paris, qui déclare : « Je ne supportais plus de voir des hommes mourir à la quarantaine d'un infarctus du myocarde massif. Nous avons bien sûr la solution de la transplantation cardiaque, mais elle ne répond pas au grand nombre de besoins, notamment en raison du manque de greffons ».
Le quotidien indique que « fruit de 20 ans de recherche et développement, ce coeur artificiel, protégé par une série de brevets, va désormais battre en toute indépendance au sein de la nouvelle société Carmat », issue d’EADS et qui « vient de lever une quarantaine de millions d'euros pour financer en France le développement de ce cœur ».
« Il pourrait être évalué sur l'homme dans 2 ans »,
poursuivent Les Echos.
Le journal explique notamment qu’« il a fallu 4 ans pour trouver la forme et la taille optimales de la bioprothèse humaine, afin de reproduire le plus fidèlement possible la physiologie normale ».
« Grâce à des capteurs électroniques très sophistiqués, […] ce coeur artificiel a la capacité de réagir automatiquement à tout changement des besoins de l'organisme par des variations du débit, de la fréquence cardiaque ou de la pression artérielle »,
continue le quotidien.

Revue de presse Medisccop le 27 octobre 08

« Les embryons hybrides bientôt autorisés en Grande-Bretagne »


La Croix remarque sur près d’une page que « dans la quasi-indifférence générale, les députés britanniques ont autorisé mercredi des scientifiques à créer des embryons hybrides, issus de l’intégration d’ADN humain dans des ovules d’animaux, dédiés à la recherche médicale ».
Le journal indique que « le texte […] pourrait entrer en vigueur en novembre. La Grande-Bretagne accentuera alors sa distinction du reste de l’Europe ou des États-Unis, en permettant aux scientifiques des expériences interdites ailleurs ».
La Croix précise que « la recherche sur les embryons hybrides sera très contrôlée. […] L’objectif scientifique avancé est de pousser la recherche sur des maladies génétiques comme Alzheimer ou Parkinson ».
Le journal rappelle en effet que « pour créer des embryons, il faut des ovules. Mais les scientifiques en manquent ».
Le quotidien explique que « les scientifiques ont donc eu l’idée d’utiliser des ovules d’animaux en substitut. Leur noyau est complètement vidé et l’embryon résultant possède, à terme, 99,8 % d’ADN humain. Les scientifiques peuvent alors récolter les cellules souches et étudier leur comportement ».
Le quotidien précise que « la loi autorise trois changements particulièrement controversés : les expériences sur les embryons hybrides, la naissance de «bébés médicaments» et l’autorisation de fécondation in vitro pour les femmes célibataires et les couples de femmes homosexuelles ».
La Croix observe que « les opposants […] sont scandalisés », mais note que « le paradoxe de cette loi est qu’elle ne va quasiment rien changer puisqu’elle ne fait qu’entériner des pratiques déjà en place ».

Revue de presse Mediscoop le 24 octobre 08