Le Parisien se penche sur « le choix tragique que sont amenés à faire des Anglais, des Allemands ou encore des Français atteints de maladie incurable qui viennent recourir en Suisse au «suicide assisté» ».
Le quotidien constate que « ce «tourisme» si particulier suscite de plus en plus de réactions dans la classe politique suisse. Au niveau fédéral, une consultation réfléchit à mieux encadrer cette pratique ».
Le journal relève que « certains politiques vont jusqu’à réclamer l’instauration d’une «taxe sur la mort». Ils proposent d’imposer une amende de 50 000 F suisses (34 000 €) aux associations pour chaque suicide assisté d’étrangers qu’elles réalisent ».
Le Parisien remarque sur la même page qu’en France, « après des mois de travaux, la mission menée par Jean Leonetti et Gaétan Gorce [sur la fin de vie] a abouti à une proposition de loi visant à créer une allocation journalière d’accompagnement d’une personne «en phase avancée ou terminale d’une affection grave et incurable» ».