C’est ce que constate Le Parisien sur sa Une et une double page, remarquant que « de plus en plus de femmes veulent repousser les limites de la science et cherchent à avoir un enfant sur le tard ».
Le journal se penche sur deux « affaires [qui] relancent le débat sur les grossesses très tardives ».
Le quotidien fait ainsi savoir qu’« à Paris, une femme de 59 ans attend des triplés. Suivie de près à la maternité de l’hôpital Cochin, elle pourrait accoucher dans les prochains jours ».
« Du jamais-vu en France, peut-être même inédit dans le monde », remarque Le Parisien.
Le journal précise que « l’accouchement est prévu dans les jours à venir », indique que « la patiente aurait bénéficié d’un don d’ovocytes au Viêt Nam », et note que « l’âge avancé de la future maman a exigé de nombreux examens, de consultations, d’échographies ».
Le Parisien cite cependant Charles Brami, responsable du centre de fécondation in vitro à l’Hôpital américain à Neuilly, qui remarque qu’« un accouchement à plus de 50 ans est rarissime. Avoir des triplés pour une femme de 25 ans n’est pas facile, alors accoucher de trois enfants à cet âge-là… Les risques pour la mère ne sont pas négligeables ».
Le quotidien indique par ailleurs qu’« à Angers (Maine-et-Loire), une maman de 46 ans, qui a accouché en juin de triplés, est dans un coma profond et laisse un père seul avec trois enfants ».
Le journal observe que les enfants sont « nés à 27 semaines d’aménorrhées dans des conditions dramatiques. Des complications cardio-vasculaires sont survenues sur la mère. Elle est dans un état critique, mais ses trois bébés sont sains et saufs ».
Le Parisien estime que « cette terrible affaire illustre les dérives possibles du don d’ovocyte lorsqu’il est pratiqué dans des conditions limites ».
Le quotidien précise que « le couple avait décidé de pratiquer cet acte en Grèce, après que des refus successifs eurent été formulés en France ».
Mediscoop le jeudi 04 septembre 2008
Le journal se penche sur deux « affaires [qui] relancent le débat sur les grossesses très tardives ».
Le quotidien fait ainsi savoir qu’« à Paris, une femme de 59 ans attend des triplés. Suivie de près à la maternité de l’hôpital Cochin, elle pourrait accoucher dans les prochains jours ».
« Du jamais-vu en France, peut-être même inédit dans le monde », remarque Le Parisien.
Le journal précise que « l’accouchement est prévu dans les jours à venir », indique que « la patiente aurait bénéficié d’un don d’ovocytes au Viêt Nam », et note que « l’âge avancé de la future maman a exigé de nombreux examens, de consultations, d’échographies ».
Le Parisien cite cependant Charles Brami, responsable du centre de fécondation in vitro à l’Hôpital américain à Neuilly, qui remarque qu’« un accouchement à plus de 50 ans est rarissime. Avoir des triplés pour une femme de 25 ans n’est pas facile, alors accoucher de trois enfants à cet âge-là… Les risques pour la mère ne sont pas négligeables ».
Le quotidien indique par ailleurs qu’« à Angers (Maine-et-Loire), une maman de 46 ans, qui a accouché en juin de triplés, est dans un coma profond et laisse un père seul avec trois enfants ».
Le journal observe que les enfants sont « nés à 27 semaines d’aménorrhées dans des conditions dramatiques. Des complications cardio-vasculaires sont survenues sur la mère. Elle est dans un état critique, mais ses trois bébés sont sains et saufs ».
Le Parisien estime que « cette terrible affaire illustre les dérives possibles du don d’ovocyte lorsqu’il est pratiqué dans des conditions limites ».
Le quotidien précise que « le couple avait décidé de pratiquer cet acte en Grèce, après que des refus successifs eurent été formulés en France ».
Mediscoop le jeudi 04 septembre 2008