Sur fond de grippe A, Le Parisien constate que « les gels hydroalcooliques ont détrôné les lunettes de soleil dans presque tous les sacs à main ».
« Mais le prix ne doit pas être le critère d’achat. C’est la composition qui compte », remarque le journal, qui indique que « l’Afssaps précise quelle norme et quels composants garantissent que le gel est réellement capable de tuer le virus H1N1 ».
Le Parisien explique ainsi que « si l’étiquette mentionne que le gel a été testé selon la norme NF EN 14476, cela signifie que le produit est capable de tuer facilement le H1N1 ».
Le quotidien ajoute que « si la bonne norme n’est pas indiquée, vérifiez que le gel contient au moins 60% d’alcool ».
Le journal note en outre que « sur Internet, de nombreux produits vantent les pouvoirs désinfectants de la rose sauvage, du citron bio ou de la bergamote. Contre un virus capable de survivre plusieurs jours sur une poignée de porte ou une rampe de métro, mieux vaut se tourner vers les solutions chimiques recommandées par l’Afssaps ».
Le Parisien cite enfin Catherine Desmares, directrice de l’Afssaps, qui estime qu’« il est vraiment préférable que les enfants se lavent les mains bien correctement à l’eau et au savon liquide ».
Le quotidien annonce par ailleurs que « les complémentaires santé financeront en partie la campagne de vaccination contre la grippe A, dont le coût devrait avoisiner le milliard d’euros ».
Le journal précise que celles-ci « devraient mettre sur la table entre 270 et 300 millions d‘euros. Leur contribution devrait être rendue officielle jeudi ».
Cette association à but non lucratif, crée en 2001, a pour but de promouvoir la clinique infirmière, la formation continue, les échanges professionnels francophones et la recherche en soins infirmiers.